Promenade parmi les cerisiers durant la nuit.

J'entre dans le Palais et je fait intrusion dans le jardin, je regardes les cerisiers de couleur rouge sang flamboyant. Puis je décide d'aller me reposer sous un de ses d'arbres. Je m'assoit donc au pied de l'un puis je lève la tête pour regarder le ciel. Je suis tellement concentré sur les étoiles, car ça faisait longtemps que je me les avais pas regarder, que je fini par m'étendre complètement au sol et je fait le vide de mon esprit et cela je donne l'effet de ne rien entendre et d'être seul au monde.

Le Palais est vraiment vide. Tous les nobles ont dû sortir dans la cour. D'ailleurs, celle-ci est pleine de gens qui discutent. Ils n'ont que ça à faire, les nobles. Parler de futilités, montrer leur valeur aux uns et aux autres. Mais je ne pense pas que cela ait une grande importance. Après tout, s'ils ont des amis à qui parler et se confier, c'est parce que ces amis leur donnent de la valeur. Mais les gens cherchent toujours à ce qu'on se donne à eux éternellement ... Il faut toujours leur prouver nos sentiments.
Je vois, allongé sous les cerisiers, un homme différent des autres. Sa capuche recouvre un oeil blessé ...
Je le reconnais ...
C'est Kawada-san.
Je le rejoint. Est-il venu pour me dire quelque chose ? Ou alors il souhaitait visiter le Palais ?
Je suis maintenant à côté de lui.
Je m'assois, pour être à sa hauteur, mais aussi pour me montrer plus accessible. Mon statut de Reine me montre comme une femme froide et distante ...

- Bonsoir Kawada-san.

Je sursaute quand la reine le salua car je m'avais assoupit. Je me redresse et le penche pour saluer sa majesté. Puis je prend sa main et la dépose un baiser et la relâche doucement.

-Je suis désolé si je vous importuné mais je désirais vous rencontrez de nouveaus pour cette fois discuter pour longtemps puisque c'est quelques minutes à moi pour aujourd'hui. Alors si vous n'avez rien de prévu j'aimerais faire le tours du jardin en votre compagnie.


Je tant la mon bras à sa majesté tout en la regardant dans les yeux.

Un tour du jardin ?... c'est bien la première fois que l'on me demande ça.
... pourquoi pas ? Après tout ...
Je prends cette main qu'il me tend, répond à son regard par le mien, et m'avance vers lui.
Sa main est chaude ... un contact comme celui-là me manquait vraiment.

- Vous ne m'importunez pas. Au contraire, votre présence m'honnore.

Les mots exacts auraient été "votre présence me fait plaisir". Mais je n'ose pas les prononcer.

Je le suis. Nous marchons longuement sous les cerisiers, qui éclairent la cour tout comme le feraient une nuée de lucioles.
Les criquets commencent à chanter ...
Mais je vais voiler leur musique quelques instants ...

- À vrai dire, je n'ai pas l'habitude de sortir ... Je redécouvre cet endroit.

... silence ...

- Vous avez l'air de vous plaire ici ...

-Bien sur que je me plait ici votre altesse, sur tout en compagnie d'une jolie dame comme vous.

Puis je lève la tête et regarde les étoile.

-Il est très rare de vois un ciel comme celui-ci, un chevalier à peu de temps pour lui alors sa fait un lustre que je n'ai pas regarder le ciel durant la nuit.

Puis je lâche la bras de la reine et je me place devant elle et la regarde dans les yeux.

-Dites-moi votre altesse que faite vous de vos journée?

Oui, les militaires ont toujours beaucoup de choses à faire ...
Moi, ce que je fais de mes journées ?...
...

- Mes journées ... ne sont pas d'un grand intérêt ...

J'avoue que je ressens un peu de ... honte, quant à parler de ce que je fais ...

- Disons que je reste au Palais. Je ... fais ce que j'ai à faire. C'est-à-dire ...

Après tout, pourquoi le cacherais-je ?...

- ... rien ...

Je me sens vraiment mal ... je suis confuse ...

- J'ai vraiment l'impression d'être ... inutile ... je ne me sens pas vraiment à ma place ...

Mes yeux se baissent vers mes pieds ...

Je vois la reine baisser la tête alors aussi tôt ma main vas se déposer sur son visage et remonte da tête pour que mon regarde sois dans le sien.

-Vous n'avez pas à avoir honte. Vous savez si vous voulez demain ou une autre journée je serais sans armure mais armée bien sur et vous et moi on pourrais aller fait une promenade dans la ville ou la foret mais bien sure sortir du Palais et peut-être du royaume si vous le désirer.

Puis je retire ma main de son doux visage et je me redresse comme il se faut et j'attends la réponse de la jeune reine.

Sa main sur mon visage ... je la sens marquée par le combat ... elle est chaude ... je me sens fermer les yeux ...
Mais la gêne m'envahit. Mon visage s'enflamme, alors qu'il retira sa main de ma joue ...
Je n'ai pu qu'écouter ses paroles, dans un moment comme celui ci. Je n'ai pas fait attention à ce qu'il y avait autour de moi.
Sortir du Palais ...
... voir l'extérieur ...
... en sa compagnie ...

- Avec plaisir ... j'aimerais vraiment revoir la forêt ... revoir le lac ...

Il ne risquera rien avec moi ... il n'aura pas besoin d'arme ... il aura juste besoin de me suivre ...

-Alors vous n'avez qu'à me dire quand voulez vous y aller. Et je me pointerais à l'endroit que vous me direz.

Je me remet à coter d'elle à sa droite et je prend sa bras pour continuer notre balade. Puis on arrive devant un grand cerisier alors je le regarde et je retire ma cape pour la met sur le sol puis je lui fait signe de s'assoit si elle le veux bien. Je m'assoit sur la gazon près de la cape et je met mes mains sur le sol et mon corps fait un angle de 45° vers l'arrière et je regarde le ciel.

-Votre altesse cela fait combien d'année que vous n'avez pas prie le temps de regarder le ciel et d'imaginer à quoi ressemblerais le jour sans c'est cerisier.

... je ne me suis jamais posée cette question, n'ayant jamais vu le jour moi-même. Je ne sais même pas à quoi ressemble le jour ... je n'ai jamais vu que l'aube ou le crépuscule.
La nuit m'a toujours convenue ...

- ... je n'en sais rien ... mais je suis sûre que, sans ces cerisiers, elle perdrait son identité, son charme. J'aime ce paysage nocturne, car c'est selui-ci qui montre cette île telle qu'elle est. Les choses doivent montrer toute leur beauté comme elles le souhaitent. Qu'en pensez-vous ?

Pour moi, ces cerisiers sont tout ...

Je m'étant sur le sol et je met mes deux mains derrière ma tête.

-Je suis d'accord ma reine mais si vous verrier le jours une seul fois dans votre vie vous verrier tellement de chose que la nuit qu'on ne peux voir.

Puis je tourne ma tête vers elle pour regarder son doux visage.

-Vous savez moi j'ai vécu ma jeunesse en autre terre alors j'ai déjà vécu le jours et cela parfois peux me manquer. Mais on s'y habitue un jour ou un autre.

Après tout, qu'est-ce que le jour ? Je pourrais très bien le découvrir. Et j'aimerais. Je ne l'ai jamais fait. Il me semble si hostile ... et pourtant, les autres personnes connaissent tous le jour ... et ils y vivent ... pourquoi moi suis-je vouée à la nuit ?...

- Peut-être serais-ce pareil pour moi si je découvrais le jour ... mais il me semble réellement hostile ... j'en ai peur. J'ai toujours l'impression que les rayons du soleil vont me brûler ...

J'aimerais sortir de ce pays et voir le jour ... mais je suis enfermée ici ... je ne peux pas en sortir ...

-Un jours sa majesté si vous le désirez je vous ferez voir le jour. Et vous n'avez pas a avoir peur des rayon. Il ne vous boulerons pas.

Puis je me redresse pour m'assoir et pour finalement me relever je me secoue un peux et m'essuie la main puis je tend la main à la reine pour l'aider à se relever.

-Votre altesse que direz vous d'aller manger un peu vous devez avoir faim.

Je dois avoir faim ?... Oui, j'avoue que mon ventre réclame un peu à manger ... J'ai bien envie d'un repas copieux.

- Oui, j'ai faim. J'ai bien envie d'aller en ville. Je connais un très bon restaurant. Je vous invite. Qu'en dites-vous ?

Je sais qu'il acceptera de venir. Je ne sais pas s'il acceptera que je paye ... après tout, je ne vois pas l'inconvénient. J'ai toutes les richesses que l'on pourrait souhaiter ...

-Votre altesse je veux bien vous accompagner à ce restaurent mais je ne serais vous laisser payer. Une jolie dame comme vous dois de faire payer un bon repas et non payer le repas.

Puis je lui prend la main et y dépose un baiser et je relâche doucement sa main pour prendre son bras et marcher doucement vers la ville. J'ai mon bras gauche qui est avec celui de la reine et ma main droite sur mon épée pour prévenir importe quel danger. Je ne serais capable de laisser la reine de faire attaquer.

Son regard est déterminé. Je ne pense pas que je réussirai à le convaincre ...

- Très bien, comme vous le voudrez ...

Je resserre mon bras autour du sien. Un peu de chaleur ... ce n'est pas désagréable ...
Nous traversons tous les deux la cour, admirant sa beauté, ce qui fait son côté unique ...
Il est minuit, et j'avoue qu'un bon repas en compagnie de Kawada-san me sera d'un grand bonheur ...


[La suite dans Au restaurant avec Ryôku Kawada]