[pour tous] Pratique à l'épée.

Il est près de minuit je sort dans la cour avec mon épée à la main droite je m'avance doucement vers les mannequin de tissus et de paille. Je le fait pivoter pour que le bras et l'épée du mannequin bouge. Puis le me place en position de combat et quand il arrive à ma droite je donne un coup d'épée en me baissent pour ne pas que son bras me touche. Puis il y a aussi un morceau de bois qui tourne en même temps du mannequin au sol alors je dois sauter pour l'éviter je frappe une fois le mannequin puis celui-ci change de direction alors je dois encore une fois éviter de me faire basculer ou frapper par les parti mobile du mannequin.

J'ai appris qu'un noble Chinois s'est présenté pour être le Général de la Guilde. Je le cherche, je pense le rencontrer. Je n'avais jamais vu de grands militaires depuis tant d'années ... j'avoue être curieuse. C'est ainsi que, en plein milieu de l'agitation nocturne, j'entre dans la cour qui pullule de soldats. Leurs voix résonnent dans la tête. Je n'ai vraiment pas l'habitude de sortir du palais ...
Il est là, je le vois. Je le reconnais à son entrain dans le combat. Il semble bien énervé contre ce pauvre mannequin qui a l'air d'en voir de toutes les couleurs ...
Je reste un peu à l'écart, pour observer ses mouvements de combat. J'avoue être fascinée par sa façon de combattre, on croirait assister à un véritable spectable ...
Ses yeux se tournent vers moi.
Il m'a remarquée, on dirait ...

Je vois la jeune reine me regarder alors je cesse de me battre avec le mannequin. Puis je range mon épée dans son étuis puis je m'avance vers elle rendu à 6 pied d'elle je m'arrête et je met mon genoux gauche au sol avec la tête baisser et un mon poing gauche au sol et ma main droite sur mon genoux. Je regarde le sol en disant.

- Je suis Ryōku Kawada, votre nouveau Général, je suis ravis de vous rencontrez votre altesse.

Puis je relève la tête pour qu'elle vois le bas de mon visage car le haut est camoufler par le capuchon de ma cape.

Cet homme est vraiment très poli. Très serviable. Et, comme je le pensais, il est très solennel et froid. Ce n'est pas un défaut. Je pense qu'il faut tout cela pour être un bon général.

- Bonjour, Kawada-san. Belle nuit, n'est-ce pas ? Les cerisiers éclairent beaucoup la cité ce soir.

Il me répond d'un signe de tête ...
... ce capuchon me gêne ... j'aimerais voir son visage ... il m'a l'air fin, et j'aime savoir à quoi ressemble ceux à qui j'ai à faire ...

- Excusez-moi, mais auriez-vous l'obligeance de retirer votre capuchon ? J'aimerais voir votre visage.

Je me relève doucement je garde la tête baisser regardant le sol. Puis je glisse mes mains pour retirer mon capuchon. Après l'avoir retirer je relève doucement la tête on peux voir mes yeux et une cicatrise qui passe sur mon œil droit et qui traverse mon sourcil. Puis je regarde la reine dans les yeux.

-Je suis désoler ma reine que vous voyez mon visage ainsi mais vous savez je suis un guerrier alors il est normal d'avoir des blessure.

Puis je n'ose pas répondre autre chose. Alors je tourne le visage légèrement pour détourner son regard.

Je vois ... il voulait cacher cette cicatrice ...
Je m'avance vers lui, et descend ma main vers son visage ...
Je passe un doigt sur sa cicatrice. Elle a l'air profonde ... Je comprends qu'il soit mal à l'aise.

- Ne vous en faites pas. Je le sais bien tout cela. Vous ne devez pas en avoir honte.

Son oeil blessé a perdu toute couleur ... c'est impressionnant.

- Avez-vous pris connaissance des lieux, des soldats ? J'espère que vous vous sentez à votre place ici.

-Oui ma cher reine j'ai pris connaissance des lieux et les soldats me respecte et obéissent à mes ordres sans discuter.

Je tourne mon visage pour regarder la reine dans les yeux puis je pose ma main gauche sur sa main qui touche mon visage et je la retire doucement.

-Vous ne deviez pas toucher un guerrier ainsi votre altesse. Qui sait ce qu'un guerrier pourrait vous faire, car il en a des bons et d'autres qui pourrais vous blesser ou abuser de vous.

Puis je relâche sa main et je fais un pas en arrière pour démontrer un signe de respect et de hiérarchie.

Je comprends son inquiétude. Il est vrai que je suis parfois insouciante ... mais c'est plus fort de moi-même. Je me sens dans un besoin perpétuel de donner. Donner tout ce que j'ai aux gens ...

- Merci d'être aussi prévenant avec moi. Mais ne vous en faites pas. J'ai juste un moment de compassion pour vous ... je ne recommencerai plus.

Il n'a pas l'air d'être tellement sûr de mes mots.

- Je tenais à vous rencontrer en personne. Mais maintenant, je ne sais plus tellement quoi vous dire ... Sachez que vous pouvez venir au Palais lorsque vous le souhaitez. Vous êtes la bienvenue.

-Je vous remercie ma reine, si vous avez besoin de moi pour quoi se soit sachez que je suis à votre disponibilité. Alors si un jour vous désirez sortir de votre palais je suis prêt à vous suivre et vous protéger.

Je fais mes salutations à son altesse et je retourne vers les autres chevaliers. Je sors mon épée et je vais voir un des chevaliers en lui demandant si il désir faire un combat amical contre moi. Il accepte et on commence le combat.

Je le salue également. Je ne regrette pas de l'avoir rencontré. En partant, je jette une dernier coup d'oeil à la cour. Mon général s'entraîne maintenant avec un autre homme. Je les regarde un moment, espérant me donner un peu de divertissement avant de revenir dans mon Palais, ce Palais glacial et vide, où toute agitation n'est due qu'à des futilités.

Comme une ombre, je pars ...